Nous sommes aux portes de l'été,
De multiples fleurs recouvrent les prés,
C'est le temps de l'union sacrée,
Entre le mâle et la souveraineté.
Lorsque le feu du soleil enflamme l'horizon,
Le voile entre les mondes s'amenuit.
Pour les vivants et les morts, festins et libations,
Cela durant jusqu'à la fin de la nuit.
Ô Grande Reine reçoit mon serment d'allégeance,
Je viens grossir le rang de tes lances,
Tu es la souveraine de mon cœur,
Avec toi, mon âme ne connait plus la peur.
En ce jour, tu t'unis à l'élu de ton choix,
Grâce à toi, il deviendra roi.
Sur les océans, Manannan n'a pas d'équivalent,
Dieu de mon cœur, chevauchant l'écume et le vent.
Sur Terre, C'est Cernunnos qui mène la danse,
Sensuel dieu cornu jouant avec nos sens.
Profitons de cette nuit de magie,
Ne nous fions point à notre vue limitée,
Ouvrons plutôt tout nos sens à la vie ;
Je vous honore mille et une fois, grandes déités.
(Fin de la version "courte")
Puisse cette eau me purifier et ma foi me porter,
Mille et une louanges à vous déités.
Puisse la (cette) terre accueillir vos fertiles bénédictions,
A vous déités, mille et une libations.
Puissent être bénis les feux de mon âme,
Ô déités, je vous acclame.
Puissent parvenir jusqu'à vous l'encens et mes chants,
A vous déités, mille et un remerciements.
Grande Reine une et multiple, je suis ta suivante,
Fils de la jument bleue, je suis ton aimante.
Quand à toi,]
Dieu aux bois de cerf, je suis languissante,
Que les festivités commencent !
Huath
De multiples fleurs recouvrent les prés,
C'est le temps de l'union sacrée,
Entre le mâle et la souveraineté.
Lorsque le feu du soleil enflamme l'horizon,
Le voile entre les mondes s'amenuit.
Pour les vivants et les morts, festins et libations,
Cela durant jusqu'à la fin de la nuit.
Ô Grande Reine reçoit mon serment d'allégeance,
Je viens grossir le rang de tes lances,
Tu es la souveraine de mon cœur,
Avec toi, mon âme ne connait plus la peur.
En ce jour, tu t'unis à l'élu de ton choix,
Grâce à toi, il deviendra roi.
Sur les océans, Manannan n'a pas d'équivalent,
Dieu de mon cœur, chevauchant l'écume et le vent.
Sur Terre, C'est Cernunnos qui mène la danse,
Sensuel dieu cornu jouant avec nos sens.
Profitons de cette nuit de magie,
Ne nous fions point à notre vue limitée,
Ouvrons plutôt tout nos sens à la vie ;
Je vous honore mille et une fois, grandes déités.
(Fin de la version "courte")
Puisse cette eau me purifier et ma foi me porter,
Mille et une louanges à vous déités.
Puisse la (cette) terre accueillir vos fertiles bénédictions,
A vous déités, mille et une libations.
Puissent être bénis les feux de mon âme,
Ô déités, je vous acclame.
Puissent parvenir jusqu'à vous l'encens et mes chants,
A vous déités, mille et un remerciements.
Grande Reine une et multiple, je suis ta suivante,
Fils de la jument bleue, je suis ton aimante.
Quand à toi,]
Dieu aux bois de cerf, je suis languissante,
Que les festivités commencent !
Huath
